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INSECTE A XYLOPHAGE

TERMITE/CAPRICORNE/VRILLETTE

LYCTUS/MÉRULE

Artisan existe depuis 2009 spécialiste dans le traitement de charpente et rénovation hydrofuge toiture étanchéité


PRESENTATION

DES CINQ PRINCIPAUX ENNEMIS DU BOIS

Madame, Monsieur, un coléoptère peut voler jusqu’à 2km à la ronde.

Suite à ces attaques, vous pouvez aussi avoir de la vrillette et du lyctus. Ce sont ces petits insectes que l’on rencontre le plus fréquemment dans les anciens meubles et qui font le bonheur des antiquaires.

Le danger, c’est que ces insectes rejettent principalement de la cellulose qui est la matière nutritive principale de ces fameux termites. Ils vivent en colonie sous terre, remontent le long des murs de votre maison afin d’attaquer tout ce qui à la base contient de la cellulose. C'est-à-dire huisserie, menuiserie, et pour finir dans votre charpente.

Suite à ces attaques vous allez voir des affaissements mécaniques de votre charpente donc écartement des tuiles et infiltrations d’eau qui sur le bois vous amènera ce champignons ouateux et blanchâtre que l’on appelle le mérule et qui va complètement putréfier vos pièces de bois.

Le capricorne

Pour en revenir à ce qui vous concerne, chez vous. Il s’agit du capricorne des maisons, scientifiquement appelé hylotrupes bajulus.

Cet insecte fait partie de la famille des sérums bissadae. C'est-à-dire qu’il a deux formes de vie comme la chenille qui devient papillon.

La première vie sous forme d’insecte parfait qui dure 1 à 3 semaines et sert uniquement à la reproduction.

Puis une vie sous forme de larve, qui là va vous créer tous les dégâts dans votre charpente.

Comme il est inscrit ici : « le capricorne vit dans les vieux conifères sec sur pied mais surtout les charpentes et les poutres de bois résineux, bien sec », comme chez vous.

Ensuite, les larves se transforment en adultes, pouvant s’accoupler dans les galeries sans en sortir. Plusieurs générations peuvent ainsi s’y succéder amenant la destruction complète de la pièce de bois.

Les conditions favorables au développement des capricornes sont la chaleur et la sécheresse. C’est un insecte anaérobie, c'est-à-dire qu’il n’a ni besoin d’air ou de lumière pour vivre.

Il existe différentes façons de déceler les attaques des capricornes :

· Soit par les trous ovoïdes appelés trous d’envol ou trous de sortie

· Soit par des boursouflures.

Mais je vous déconseille fortement d’en arriver là, car cela signifie que toutes les larves présentes à l’intérieur du bois vont remonter à la surface pour finir leur travail de sape.

Vous voyez cette même pièce de bois après décapage, elle est complètement vermoulue et risque de céder sous le poids du toit.

Comme tous les insectes, le capricorne a un cycle de reproduction. La femelle ainsi fécondée va s’envoler dans vos pannes de bois et à l’aide de son dard télescopique long et fin comme un cheveu, va pondre de l’ordre de 50 à 100 œufs dans les fentes naturelles du bois interstices de montage.

Par instinct de maternité et de conservation, la femelle va repartir ses œufs par chapelets de 30 à 50 sur la totalité de votre charpente.

Ces œufs vont arriver à terme de l’éclosion, donc larves néonatals, puis larves adultes.

Ce qu’il faut savoir de ces larves adultes, c’est qu’elles vivent de 5 à 7 ans dans vos bois, mesurent de 2 à 3 cm et mangent l’équivalent de 3 fois leurs propres volumes de bois en période chaude par semaine, soit la taille d’une cigarette par semaine. Après ces 5 à 7 ans, toutes les larves vont remonter à la surface pour créer ces fameux trous de sorties, se chrysalider et devenir insecte parfait. Et là, le cycle infernal recommence.

Accouplement, ponte (vous pouvez voir le dard entrer au cœur du bois), les œufs répartis par chapelet, qui vont donner des larves néonatals, puis les larves adultes qui vont recommencer leurs dégâts dans votre charpente, puis se chrysalider etc.…

Ceci constitue un véritable effet boule de neige et compte tenu du caractère épidémique que présente la reproduction du capricorne, il est difficile, voir impossible de s’en débarrasser si l’on ne fait rien.



DEGATS

En ce qui concerne les dégâts que ce soit des bois anciens ou des bois ressent, ce sont exactement les mêmes. Il n’y a que la durée dans le temps qui change.

Pour les bois anciens, c'est-à-dire les bois feuillus comme le chêne, châtaignier, l’hêtre, il faut compter de 7 à 8 ans d’attaque généralisée sur la même pièce de bois pour avoir un affaissement mécanique.

Par contre sur les bois ressent c'est-à-dire les bois résineux comme le pin, le sapin, il faut seulement compter de 3 à 4 ans d’attaque généralisée sur la même pièce de bois pour avoir le même affaissement mécanique.

Conclusion : ca va deux fois plus vite…

Prenez par exemple cette pièce de bois, d’extérieur elle apparaît parfaitement saine, on a pu y constater quelques trous d’envols, pourtant celle-ci a cédé sous le poids du toit par le biais des fentes naturelles car l’intérieur est complètement vermoulu. Comme il est écrit ici, les dégâts ne sont jamais visibles à l’œil nu, ils apparaissent généralement après destruction totale de la pièce de bois.

De ces problèmes, on en parle de plus en plus dans la presse, notamment depuis la loi du 8 juin 1999 où il a été demandé à tous les propriétaires pour une transaction immobilière de faire systématiquement un contrôle de sa charpente.

Ici par exemple, un plafond s’est effondré sur trois ouvriers pendant un chantier car celui-ci était complètement vermoulu.

Comme quoi, même certains professionnels du bâtiment peuvent se faire avoir par ce genre de dégâts.

Ou encore, la mairie de la garde, où en 1988 il a été recensé un état parasitaire de capricorne, mais comme moi, vous connaissez la lenteur administrative. Le temps que ça se passe d’un bureau à un autre, et que le budget soit voté, résultant un an plus tard, la charpente commence à s’affaisser ce qui a engendré deux ans de réparation et un coup supérieur à 8 millions de francs.

Donc, j’attire votre attention : propriétaire d’immeuble ou de maison individuelle : attention, de tels dégâts ne sont jamais couverts par les assurances car l’entretien de votre charpente fait partie intégrale de l’entretien de votre maison au même titre que vos fenêtres, par exemple.

Alors vous allez me dire, mais que faut-il faire pour stopper ce problème ?

Et bien, il va falloir empoisonner entièrement la matière nutritive commune au cœur de votre bois. Et pour ceci vous avez trois possibilités :

PREMIERE POSSIBILITE

La première possibilité c’est le reflexe de certains propriétaires qui vont aller chez le droguiste du coin tel que Castorama, Leroy Merlin pour acheter des produits comme le xylophène, le xylamon ou autres produits dérivés.

Ce qu’il faut savoir de ces produits c’est qu’ils sont très dangereux car ils contiennent des gaz toxiques comme le PCP (pinta chloro phenal) et le Lendal. C’est pour cela qu’il faut toujours se protéger au maximum (masque, gants, combinaison étanche) si l’on ne veut pas finir à l’hôpital.

Si vous suivez les indications inscrites sur le pot, ils vous demandent de badigeonner une première couche dans le sens des fibres du bois puis, de croiser une couche dans le sens inverse des fibres du bois. Le problème comme vous le savez c’est que le bois n’est pas une éponge, par conséquent, le produit va seulement pénétrer de quelques millimètres tout au tour de la pièce de bois.

Comme on l’a dit récemment, les larves ne vont pas être dérangées par le produit et vont continuer leur va et vient jusqu’au moment où elles vont vouloir remonter à la surface et seront bloquées car vous avez créé une barrière chimique.

Par conséquent, elles vont retourner à l’intérieur et recommencer leur aller-retour jusqu’à trouver une fente naturelle ou interstice de montage pour atteindre le stade de chrysalide donc, retour à l’état d’insecte parfait, puis accouplement, et ponte dans votre charpente. Malheureusement, d’extérieur votre pièce de bois paraîtra parfaitement saine, alors qu’à l’intérieur elle sera complètement vermoulue et cédera sous le poids du toit.

Ce procédé s’appelle, LE BADIGEON, vous pourrez l’utiliser pour traiter du bois de section faible comme vos volets, vos meubles, plinthes etc.…, mais surtout pas dans votre charpente.

LA DEUXIEME POSSIBILITE

La deuxième possibilité c’est la solution utilisée malheureusement par certains professionnels du bâtiment (certains couvreurs, maçons).

Que vont-ils faire ?

Ils vont monter sur votre toit, retirer la couverture, au risque de vous casser des tuiles, et percer des trous tout les 60 à 80 cm.

Ensuite, à l’aide d’une vulgaire pompe ou d’un entonnoir, ils vont introduire du produit dans chaque trou et celui-ci va se diffuser un petit peu autour de ces trous. Le problème est toujours le même, le bois n’est pas une éponge donc ils vont rentrer de petites chevilles en bois en force pour exercer une pression supplémentaire et le produit va se rependre un peu plus comme ceci. Les larves au contact du produit vont mourir, par contre celles présentes entre chaque trou ne vont pas être dérangées par le produit.

Elles vont continuer leur va-et-vient mais dans un champ restreint car vous avez à nouveau créé des barrières chimiques ce qui va accélérer le processus de destruction amenant des axes de rupture sur la totalité de votre charpente.

Ce procédé s’appelle l’INNOCULATION. Il faut savoir qu’il est strictement interdit par les professionnels du bois.

LA TROISIEME POSSIBILITE

Vous avez déjà été en foret ? Donc vous avez déjà vu un arbre en coupe ?

Vous connaissez ses nervures ?

En terme technique, ces nervures s’appellent des canaux médullaires. Leur particularité est qu’ils sont parfaitement étanches les uns par rapport aux autres. C'est-à-dire que la sève qui circule dans un canal ne va pas circuler dans celui d’a coté. C’est la raison pour laquelle, si l’on prend un tronc d’arbre et que l’on met dans l’eau il flottera et ne coulera pas.

Donc, que faut-il faire ?

Il va falloir déchirer l’étanchéité de ces canaux médullaires afin de créer un axe de communication entre eux. Pour ceci, il faut percer des trous de diamètre 9,5mm répartis en quiconce tous les 30cm (répartition des forces de perçage).

Ces trous doivent être percés en direction de l’axe imaginaire du bois et toujours au 2/3 de la section de bois.

Pourquoi ?

Car si vous allez trop loin, vous allez affaiblir votre charpente, par contre si vous n’allez pas assez loin, vous n’allez pas rompre tous les canaux médullaires donc, une partie du bois ne sera pas traitée.

Ensuite, il faut se munir d’une pompe haute pression sans air, et j’insiste sur le sans air, car l’addition d’air et de produit, sous l’effet de la pression va créer une émulsion et vous faire éclater les fibres du bois. Ensuite, il faut monter une pression de 15 à 20 bars, vous voyez ce que ça représente ? (pneu de voiture : 2 à 2,25 bars, robinet : 3 bars). Ensuite, il faut clipser le pistolet à l’entête du trou, où préalablement il a été placé un injecteur. Sous l’effet de la pression le produit va taper le fond du trou et remonter un à un le sens inverse des canaux médullaires et en maintenant la pression constante, ce qui va décristalliser la sève, toujours de 15 à 20 bars, vous allez obtenir un suintement apparent à surface du bois, ce qui vous indiquera, à cet endroit, que le bois est complètement gorgé de produit. Il faut ensuite répéter cette même opération sur l’ensemble des points d’injection toujours de 15 à 20 bars jusqu’à suintement apparent. Là, votre pièce de bois sera complètement gorgée de produit.

Pour les chevrons, ce sont de grosses sections de bois découpées en plusieurs morceaux (débité), les canaux médullaires sont déjà sectionnés. Cette fois-ci, il faut percer des trous de diamètre 9,5mm répartis de manière linéaire tout les 45 à 60 cm, toujours en direction de l’axe imaginaire du bois et toujours au 2/3 de la section. Avec la pompe et cette même pression il faut venir clipser le pistolet à l’entête des trous où préalablement il a été placé des injecteurs.

Le produit va taper le fond du trou mais cette fois-ci, il va se répandre de façon longitudinale et il faut maintenir cette pression constante jusqu’à suintement apparent à la surface du bois. Il faut bien sûr répéter cette même opération sur l’ensemble des points d’injections jusqu’à suintement apparent sur l’ensemble des chevrons (et l’ensemble du solivage).

Ensuite, ce n’est pas fini, car il faut changer l’embout du pistolet, placer une rotabuse, monter la pression de 40 à 60 bars et procéder à une double micro-pulvérisation sur l’ensemble de votre charpente. Ceci a pour objectif de parfaire le travail à la surface de grosses sections de bois et des chevrons, et de vous traiter l’ensemble des liteaux qui ne peuvent pas être percés. Ainsi, votre charpente est parfaitement traitée au cœur comme à l’extérieur.

Ce procédé s’appelle l’injection sous pression avec double micro-pulvérisation. Selon vous, Madame, monsieur, quelle est la meilleure de ces 3 possibilités ?

PARLER SECURITE

Procédé de la réalisation des travaux

En ce qui concerne les travaux, ils se décomposent toujours en 2 phases :

Une phase de préparation et une phase d’injection.

Phase de préparation :

Il faut tout d’abord, décaper ou bucher toutes les parties malades de votre charpente car si un injecteur est placé dans la vermoulure, sous l’effet de la pression, il va sauter.

Ensuite il faut brosser une à une toutes les pièces de bois de votre charpente afin de ne pas créer un effet buvard avec le produit.

Ensuite il faut percer des trous de diamètre 9,5mm, répartis en quinconce tous les 30cm sur les grosses sections de bois (panne faîtière, pannes intermédiaires, pannes sablières) et un en linéaire tous les 45 à 50cm sur l’ensemble des chevrons et du solivage.

Ensuite, il faut placer un à un tous les injecteurs dans les trous répartis en quinconce tous les 30cm sur les grosses sections de bois et en linéaire tous les 45 à 50cm sur l’ensemble des chevrons et du solivage.

Phase d’injection :

L’applicateur spécialisé doit se munir d’un masque à induction d’air d’une paire de gants et d’une combinaison étanche non parce que le produit soit toxique mais parce qu’il y est exposé tous les jours. Puis il doit monter une pression de 15 à 20 bars, clipser le pistolet à l’entête du trou où préalablement il a été placé un injecteur, puis injecter le produit en maintenant la pression constante jusqu’à un suintement apparent à la surface de la pièce de bois.

Ensuite, le spécialiste doit retirer l’embout du pistolet, placer une rota-buse puis monter à une pression de 40 à 60 bars afin de procéder à une double micro-pulvérisation sur l’ensemble de votre charpente. Ceci a pour objectif de parfaire le travail à la surface de grosses sections de bois, des chevrons et des liteaux. Ainsi votre charpente est parfaitement traitée au cœur comme à l’extérieur et là vous avez enfin un chantier fini.


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